Globalement, 73% des PME ont confiance en l’avenir de leur entreprise et cette confiance est beaucoup plus marquée pour les PME présentes à l’international (81%). Ces dernières envisagent à 56% de recruter dans l’année à venir, en France ou à l’étranger, pour le développement de leur activité.
Lorsqu’elles sont déjà présentes à l’international, elles y réalisent une part non négligeable de leur chiffre d’affaires (C.A) ; pour plus de la moitié d’entre elles, leur activité à l’international représente plus de 10% de leur C.A.
Lorsqu’elles pensent à leur activité en dehors de l’Hexagone, les PME se tournent prioritairement vers les pays voisins d’Europe de l’Ouest, les Etats-Unis et la Chine.
En revanche, 15% des entreprises non exportatrices ont l’intention d’exporter d’ici 2 ans. Seulement…
Lorsqu’on les interroge sur les raisons de cette frilosité, elles évoquent plusieurs freins. Les entreprises non présentes à l’international perçoivent davantage de difficultés, réelles ou supposées, comparées à celles qui ont déjà franchi le pas. Le risque pays, les formalités administratives ou encore la méconnaissance des opportunités à l’étranger constituent le « trio de tête » des difficultés citées par les PME.
La prise en compte des règlementations, normes et spécifications professionnelles de chaque pays sont des enjeux majeurs dans les objectifs d’internationalisation.
L’Acanor est en mesure de vous guider pour dresser ce panorama et possède un réseau d’expert pour vous accompagner ainsi qu’échanger sur les expériences de nos membres.